Nicolas Sarkozy, l'ancien président de la République Française et actuel président du parti de droite "Les Républicains", brandit à nouveau la menace de l'immigration. Il consulte ses adhérents en soumettant au vote 12 questions relatives à ce sujet. Dans son message aux militants de droite, Nicolas Sarkozy mis en garde contre l’augmentation des régularisations dues à la circulaire Valls du 28 novembre 2012 et à la hausse des entrées en France sous couvert de visas de longs séjours, notamment délivrés dans le cadre de l'immigration familiale. Dans son message, il considère que la politique française de l'immigration n'est pas conforme à l’intérêt national, que "les français ne le pensent pas" insiste-il et d'ajouter que "trop souvent le débat sur l'immigration est interdit avant même d'avoir été esquissé".
Il faut rappeler que lors de sa présidence, le débat sur les consultations relatives aux questions de l'immigration et de l'intégration mené par le Ministre de l'immigration de l'époque Eric Besson était un véritable fiasco, ayant conduit à la suppression de ce ministère et sa réintégration au Ministère de l'Intérieur.
La stratégie du candidat malheureux aux élections présidentielles de 2012 est certainement de miser le tout à droite pour faire un clin d’œil aux militants du Front National, car, sur le plan économique, il faut reconnaitre que le débat de fond est beaucoup plus difficile à aborder en ces temps, compte tenu du chômage croissant et de la crise économique interminable qu'a connu le pays depuis 2007.
La question des réfugies qui occupe l'actualité de l'Europe ces derniers mois accentue la méfiance envers les étrangers. Les partis de droite et d’extrême droit vont certainement en tirer profit "politiquement".
Les 12 questions posées aux adhérents
Il faut rappeler que lors de sa présidence, le débat sur les consultations relatives aux questions de l'immigration et de l'intégration mené par le Ministre de l'immigration de l'époque Eric Besson était un véritable fiasco, ayant conduit à la suppression de ce ministère et sa réintégration au Ministère de l'Intérieur.
La stratégie du candidat malheureux aux élections présidentielles de 2012 est certainement de miser le tout à droite pour faire un clin d’œil aux militants du Front National, car, sur le plan économique, il faut reconnaitre que le débat de fond est beaucoup plus difficile à aborder en ces temps, compte tenu du chômage croissant et de la crise économique interminable qu'a connu le pays depuis 2007.
La question des réfugies qui occupe l'actualité de l'Europe ces derniers mois accentue la méfiance envers les étrangers. Les partis de droite et d’extrême droit vont certainement en tirer profit "politiquement".
Les 12 questions posées aux adhérents
